Je fais en sorte que les gens s’y sentent bie

Corinne Martinez connait très bien Comptafrance, et pour cause… Bientôt vingt ans de maison, et une expertise qui s’est faite sur le terrain. En 2014, elle a pris les rênes du bureau d’Orléans et modelé une équipe à son image. « Je fais en sorte que les gens s’y sentent bien. La relation humaine est une évidence et se traduit dans les résultats ».

Dans ce cabinet à taille humaine – 20 collaborateurs -, la porte du bureau de Corinne Martinez est toujours ouverte ; pour lever un doute, demander un conseil ou partager une satisfaction.

« Les entreprises nous donnent leur confiance, alors on s’efforce d’être à la hauteur ! Le dirigeant ne vient pas recevoir une leçon de morale, mais trouver l’accompagnement dans les phases stratégiques et le développement de son activité ».
L’honnêteté est la première qualité exigée. Alors se tisse une relation sincère entre le client et le conseiller le plus adapté. « Notre meilleur prescripteur, c’est le client. La proximité et le bouche à oreille font le reste ».

Proche de nos clients

Christian Doulcier est chef de mission au cabinet. Il établit et maintient le lien entre ses équipes et les clients. Clients qu’il connait tous sans exception. « Je les vois au moins une fois dans l’année, dit-il, et je travaille par Skype quand il le faut ».

Christian est aussi la « mémoire » de la maison. Depuis 1987, il a vu se constituer les dossiers, il apporte son expertise sur des sujets aussi divers que la trésorerie, la mutation de l’entreprise et la fiscalité, mais aussi la gestion de patrimoine. « Au-delà de la connaissance de l’entreprise, il est important, sans ingérence, de connaitre l’environnement du dirigeant ».

Car même si la profession change, avec la digitalisation des pièces comptables, ou la prise en main d’un dossier à distance, le contact avec les clients demeure. « Il y a certes des honoraires, mais je n’ai pas de chronomètre sur mon bureau » !

Mais un maître mot demeure : la confiance.

Le sourire de l’entreprise

Depuis un peu plus d’un an, Magalie accueille les clients. Un bonjour, un mot gentil et une écoute attentive, c’est pour elle une évidence. « Même si l’on a parfois des journées de fou, j’aime la diversité et le contact, avec les clients comme avec les collaborateurs ».

Secrétaire comptable de formation, Magalie s’attelle aussi à la facturation, au courrier et à la saisie comptable. Alors rien d’étonnant à ce qu’elle connaisse tout le monde, au moins de nom. « De certains clients, je reconnais la voix ». Elle est le premier sourire que l’on perçoit au téléphone.

Avec la rigueur comptable qui s’impose, Magalie fait en sorte que tout s’imbrique : dossiers, rendez-vous, disponibilité des collaborateurs. Un travail exigeant, mais « la bonne entente dans une entreprise quasi familiale, où tout le monde se connait, facilite grandement les choses » !

Le droit est partout !

Lucie est la responsable juridique du cabinet d’Orléans. Elle conjugue cette mission dans quelques autres établissements du groupe, ce qui lui permet de cerner et de maîtriser les problématiques récurrentes.

Juriste de formation, Lucie officie depuis 10 ans chez Comptafrance ; c’est d’ailleurs elle qui a inauguré le poste. Aujourd’hui, Aliénor l’accompagne dans ses nombreuses missions, et cela commence dès la constitution des entreprises.

Conseil pour le droit des sociétés, montages juridiques et rédaction d’actes, le responsable juridique est l’interlocuteur du Greffe des tribunaux, des institutions ou des chambres consulaires.

A toutes les étapes de la vie des sociétés comme des associations, les aspects juridiques sont incontournables. « Qu’il s’agisse de transfert de siège, de rédaction d’un bail commercial, d’approbation des comptes, de changement de statuts ou de l’entrée d’un actionnaire, les lois de simplification n’ont pas empêché le droit de s’inviter partout » s’amuse Lucie.

Chez Comptafrance, les experts-comptables travaillent étroitement avec les juristes.
« Ce sont des missions à haute valeur ajoutée car très techniques », ajoute Lucie. De l’intérêt d’avoir cette compétence en interne.
« Lors de la constitution d’une entreprise par exemple, c’est là qu’on jette les bases. Il y a un côté très affectif ». C’est là toute la satisfaction d’accompagner.