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Tours
208 rue de la Sagerie
37170 Chambray les Tours
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14h00 – 18h00
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Mr. Olivier ALLEAU
Directeur
Expert-comptable
Commissaire aux comptes
L'AGENCE
Comptafrance, l’accompagnement d’abord
Comptafrance à Chambray les Tours, c’est une équipe d’une quinzaine de collaborateurs. Depuis 1997, le cabinet s’est constitué une clientèle de TPE-PME, dont la diversité fait une partie de la richesse. Cafés, hôtels et restaurants, garages automobiles et pharmacies, l’absence de spécialisation est une volonté savamment cultivée.
« Au sein du groupe Comptafrance, on se consulte régulièrement, explique le directeur du cabinet, Olivier Alleau. Les spécialités juridiques, fiscales, sociales, etc, des uns et des autres sont systématiquement mises à la disposition de tous ».
Une particularité tout de même ? « Une très bonne équipe de gens impliqués et consciencieux, se plait à dire Olivier Alleau. Je sais que nos clients sont bien accompagnés ».
Le cabinet se fait une règle de donner rapidement des rendez-vous à ses clients. « Nous sommes là pour les écouter et répondre à leurs attentes, sur le mode qui leur convient ».
Le cabinet est ainsi structuré pour un accompagnement opérationnel, une collaboration efficace et un suivi dans le temps. Chaque collaborateur se sent ainsi très investi dans les dossiers qui sont les siens.
INTERVIEW
« On est là pour guider les gens dans leur projet »
Olivier Alleau
Expert-comptable, Olivier Alleau a intégré Comptafrance il y a 25 ans, directeur du bureau de Tours depuis 2004.
« J’ai fait le choix de ne pas me spécialiser, explique-t-il. Je m’occupe du management, de la fonction commerciale et du relationnel dans mon équipe ». Une équipe constituée de collaborateurs aguerris à qui il fait confiance pour suivre chacun ses clients.
« Il s’agit de conseiller des gens passionnés, poursuit Olivier, qu’il faut accompagner pour concrétiser leurs ambitions ».
Chez Comptafrance, le business plan fait la différence. « On est là pour guider les gens dans leur projet, ne surtout pas les laisser aller dans le mur ».
Les entreprises viennent d’ailleurs de moins en moins pour la seule comptabilité. Elles veulent être rassurées et accompagnée dans leurs prises de décision.
« Le métier change, observe Olivier Alleau. Sécuriser et encadrer les investissements devient la priorité. Les clients attendent qu’on valide l’équilibre financier de leurs projets de création, de développement ou de reprise d’entreprise ».
Pour coller à la diversité des entreprises clientes, Olivier Alleau s’attache à faire évoluer le profil de ses collaborateurs et de leurs compétences.
La dématérialisation ? « Que l’on apprécie ou pas, on n’a pas vraiment le choix, constate-t-il. C’est comme les mail il y a trente ans, il faut y aller ».
Le cabinet tourangeau veut être proactif sur la question, tout en préservant la volonté des clients. « Il faut s’adapter et faire évoluer les structures ».
Cette expérience, développée au sein du cabinet, et la qualité des relations tissées dans le Groupe, valent aujourd’hui à Olivier Alleau d’avoir été élu président du groupe Comptafrance.
NOS COLLABORATEURS
Laurence Darcourt
J’aime la diversité des entreprises
Laurence n’envisage pas son métier autrement qu’en cabinet. « J’aime la diversité du travail qui s’y fait ». Elle a une vue globale sur la vie de la cinquantaine d’entreprises dont elle a le suivi, certaines depuis plus de dix ans.
De grosses PME le plus souvent, pour lesquelles elle traite le dossier « en révision » ; c’est-à-dire que ces entreprises ont un comptable en interne, mais souhaitent avoir un avis complémentaire et une vue d’ensemble avisée par le cabinet.
« Je suis forcément proche de l’entreprise, et avant même d’en établir le bilan, c’est une relation de confiance que j’établis ». Pour cela, Laurence se fait un devoir d’être disponible, à l’écoute, et bien sûr de respecter les délais.
Si les rencontres ne sont pas systématiques, Laurence est toujours très présente aux côtés de l’entreprise au fil de l’année. Par mail et au téléphone dès que le besoin se fait sentir. L’intérêt est de communiquer avec le comptable pour avoir un suivi, prendre des nouvelles ou faire le point. Laurence Darcourt fait en sorte de toujours garder le contact et de rester présente auprès de ses clients.
C’est grâce à cela par exemple qu’une autoécole en difficulté a été sauvée. La vigilance avait permis d’anticiper. « Il faut être en alerte sur les points sensibles de chacun, dit-elle, et connaitre la fiscalité propre à chaque secteur d’activité ». L’automobile, les garages et concessions, les véhicules d’occasion, vivent avec une conjoncture particulière. Il en va de même de la restauration, avec une masse salariale et des marges qui varient avec le volume d’activité. « C’est la connaissance de cette diversité qui fait la richesse du métier ».
Julie André
Surtout ne pas se tromper
Sa spécialité, c’est le social, comme deux autres collaboratrices au sein du cabinet. Cela commence par la gestion des payes et tout ce qui est en lien avec les cotisations URSSAF, les procédures d’embauche et de licenciement.
De la période de crise sanitaire, on se souviendra des difficultés du moment, qui ont mis en lumière les missions du cabinet comptable : activité partielle, télétravail, fermeture d’établissements ; il faut démêler ce qui est autorisé de ce qui ne l’est pas…. « L’actualité sociale de l’entreprise est très changeante, rappelle Julie André. On passe beaucoup de temps sur les sites juridiques officiels, pour tenir nos entreprises clientes informées. Ces ajustements se font au mois le mois voir au jour le jour ». Il faut aussi compter avec la particularité des secteurs d’activité, donc des accords de branches et des conventions collectives. Indemnités et avantages en nature, trajets et repas, absences, maladie, congés payés et prévoyance…, autant de sujets qui font le quotidien social de toute entreprise.
« Oui certaines PME pourraient faire cette veille elles-mêmes, mais les logiciels sont extrêmement pointus et les risques d’erreurs nombreux ».
Pour éviter les conséquences importantes, le maillon indispensable de l’entreprise reste le cabinet comptable.
Christine Quincou
Cultiver le travail d’équipe
Chez Comptafrance depuis 8 ans, Christine Quincou est une collaboratrice avisée. « J’ai toujours travaillé en cabinet, sur les questions de paye, le social et la comptabilité ». Le quotidien de Christine, c’est avant tout l’écoute de ses clients, pour la mise à jour de leur comptabilité et l’établissement des déclarations fiscales. « Il est de plus en plus souvent question de conseils et de simulations pour l’achat d’un véhicule ou d’un bâtiment, des investissements locatifs, voire les impôts personnels ».
Il y a longtemps que les cabinets ne se bornent plus à l’édition de tableaux. Ils doivent repérer les risques éventuels et alerter les entreprises. Pour cela, les spécialistes de Comptafrance travaillent en réseau, se posent des questions et se demandent conseil. Comptafrance est très structurée pour cela. « C’est le travail d’équipe qui en fait la fonctionnalité. Un client ne reste ainsi jamais sans réponse ».
Ajoutons que la législation change vite. Il faut être à l’écoute des informations professionnelles fiables. Elles viennent des centres de gestions, des impôts, des revues spécialisées, et du Journal Officiel bien sûr car beaucoup d’annonces gouvernementales sont validées par décrets.
« On prend notre part de responsabilité dans les prises de décision, ajoute Christine. Il faut savoir chercher le renseignement là où il est ». La force de Comptafrance réside donc en partie dans la qualité de son réseau.
« Le client a besoin de se faire épauler, parfois dans ses affaires personnelles, remarque Christine. On le fait toujours de bonne grâce, même si on y doit y passer du temps. Notre métier est un métier de service. J’aime ça, moi qui voulais travailler dans les affaires sociales. Les gens nous le disent et nous sollicitent de nouveau, preuve de leur confiance ».
Le conseil : Il n’y a pas de questions qui n’aient pas de réponse !
Jean-François Chippault
Conforter et soutenir
A 32 ans, J.-François Chippault est un pur produit maison, puisqu’il a intégré Comptafrance il y a douze ans déjà. Il intervient aujourd’hui en expertise-comptable et commissariat aux comptes auprès d’une clientèle de PME, de TPE et d’associations.
« Le métier est extrêmement varié, convient-il. Pour répondre à toutes les sollicitations, on s’appuie sur un large panel de référents polyvalents en interne ». Comptafrance est elle-même une PME, au sein d’un groupe solide, avec des compétences très pointues qui peuvent être sollicitées à tout moment.
Sur le principe que « ensemble on va plus loin », Jean-François fonde son métier sur les relations humaines. « Le COVID a renforcé les liens, dans les bons et les mauvais moments. Jamais notre métier n’aura autant eu le sens de l’accompagnement ».
Un métier qui change, qui ne produit plus que des comptes, mais qui soutient, conforte, corrige et devance parfois les besoins. « Nous devons être force de proposition », résume Jean-François.
La profession dans dix ans ? « Les nouvelles technologies seront plus présentes encore, les rendez-vous de bilan se feront plus souvent à distance, mais la technologie sera plus ludique…C’est une optimisation des tâches à faible valeur ajoutée qui se dessine. Plus de saisie mais de la reconnaissance de documents. Il ne faut pas en avoir peur, et le voir comme un progrès qui renforcera notre rôle de conseil ».
Etre le confident, de l’entreprise et de son dirigeant, la personne de confiance.